Oui à la solidarité pour payer la dépendance, mais avec un accord négocié !
La journée de solidarité :
La journée de solidarité a été mise en place par le gouvernement en 2004. En contrepartie de 7 heures travaillées mais non rémunérées, les employeurs versent une contribution à l’état, pour financer la dépendance en France.
En 2008 la loi assouplit les modalités de fixation du jour de solidarité.
La journée de solidarité n’est plus obligatoirement fixée le lundi de Pentecôte, qui est redevenu férié. Les modalités peuvent, depuis 2008, être fixées par accord dans les entreprises, après négociation.
Schneider Electric refuse de négocier un accord à ce sujet, et impose le lundi de Pentecôte comme jour de solidarité, sans motiver sa position.
La journée de solidarité n’est plus obligatoirement fixée le lundi de Pentecôte, qui est redevenu férié. Les modalités peuvent, depuis 2008, être fixées par accord dans les entreprises, après négociation.
La Cfdt demande à Schneider de revoir sa position sur ce sujet, et qu’une négociation soit lancée.
Pour soutenir cet appel à l’ouverture d’une négociation sur les modalités d’application de la journée de solidarité, la Cfdt appelle les salariés à une journée d’action lundi 24 mai 2021, soit sous forme de grève**, soit en absence rémunérée***
* L’EVP est une nouvelle approche concernant l’attractivité que Schneider territoire France veut mettre en place pour attirer les candidats externes.
** 1 heure, 2 heures, 1/2 journée, Journée (à votre convenance). *** CP journée de 7 heures
